La route

Grand Prix de la BD ELLE pour l'adaptation magistrale du roman "La Route" de Cormac McCarthy.

Lauréat - Prix Babelio 2024

Manu Larcenet offre une description visuelle remarquable au texte de Cormac McCarthy

Il fallait le talent de Manu Larcenet pour restituer la force et l'horreur de La Route. Une adpatation magistrale.

Une réussite glaçante

Dessinées au scalpel et à la cendre, les images ressemblent à des négatifs de la vie passée, détails de ruines d'une beauté stupéfiante, immeubles éventrés, corps décomposés…

Véritable chef-d'oeuvre

Les légères réinterprétations font de la BD, davantage qu'une adaptation littérale, une nouvelle lecture de l'oeuvre, au point que les deux pourraient bien, un jour, sembler indissociables.

Formidable et effroyable. Le génie graphique que déploie Manu Larcenet dans cet album est à la
hauteur de la puissance et de la beauté du roman de Cormac McCarthy qui l’a inspiré, La
Route.

Larcenet qui cette fois est allé traduire en dessin un livre lourd, sordide, « la Route » de Cormac McCarthy, la marche d'un père et d'un fils dans un monde détruit...

magistrale !

c'est sublime !

Avec une grande modestie et un vrai respect du roman, au travers de bulles aux lignes fines et précises, au noir profond, il donne une nouvelle vie au voyage du père-fils.

Manu Larcenet atteint des sommets. Cette Route est déjà un classique du neuvième art.

II livre une adaptation tout à la fois fidèle et extraordinairement personnelle de
l’oeuvre phare de l’écrivain américain

Le dessin est magistral, impérieux, sans faille.

Remarquable album, M. Larcenet, grand illustrateur

Manu Larcenet exprime les défis d'adapter le texte riche en silences, créant une esthétique unique de cendre et de poussière. Ce projet, plus qu'une BD, est une immersion graphique captivante.

Manu Larcenet a relevé le défi de transposer cette histoire en images, créant une oeuvre aussi fidèle à l'original que réussi en soi.

Larcenet souligne l'importance des silences et du gris dans son récit, captivant les lecteurs dans une esthétique austère mais évocatrice.

une adaptation virtuose

un chef-d'oeuvre qui rappelle pourquoi la bande dessinée est surnommée le « neuvième art ».

Ses pages muettes d'une violente poésie et son travail sur les textures, nous entraînent dans un tourbillon incessant de cendres dont on ne peut sortir indemne

Un chef d'oeuvre

Manu Larcenet a réussi à trouver les teintes de l'apocalypse. Bouleversant

Manu Larcenet oscille entre noir et blanc et gris coloré, pour rendre l'inhumanité d'un monde de cendres. Et opte pour la quasi-absence de dialogues afin de laisser sourdre le silence de pierre de cette planète dévitalisée. Impresionnant, suffocant, bouleversant.

Manu Larcenet ne peint pas seulement un paysage apocalyptique. Il enfante le croisement de l'Enfer et du désespoir. C'est vertigineux. Jouissif esthétiquement.