Pour en finir avec le cinéma
Pour en finir avec le cinéma Qu’est-ce que le cinéma ? Quel effet nous fait-il ? Pourquoi l’aimons-nous? Autant de questions auxquelles Blutch répond à sa manière – profonde, humble et réfléchie –, puisant dans sa prodigieuse culture et, surtout, dans sa très grande science de raconteur de bande dessinée. Il évoque ainsi Burt Lancaster, Jean Gabin, Michel Piccoli, Luchino Visconti, Claudia Cardinale, Tarzan, Psychose… Tout autant essai graphique que bande dessinée ultime rêverie et fantasme sur l’autre art de la narration par l’image, Pour en finir avec le cinéma signe l’arrivée chez Dargaud d’un maître incontesté de la bande dessinée d’aujourd’hui.
Résumé :
L’avis des journalistes :
Dominique Bry – Mediapart »Véritable ode au 7ème art, Pour en finir avec le cinéma est un livre à sketchs, une comédie italienne des années 50 qui puise dans les souvenirs et la nostalgie, dans l’âge d’or du cinéma. Le dessin comme le propos sont emprunts d’un surréalisme touchant au fantastique.(…) Pour en finir avec le cinéma, une ode rageuse et littéraire, intime et sensible. »
Jean-Claude Loiseau – Télérama « Et c’est éblouissant, car Blutch maîtrise le mouvement comme jamais et dessine les femmes, stars ou non, à fleur de peau et de séduction, comme personne. Dans cette vadrouille-surprise, où le coq-à-l’âne fait merveille, flotte une nostalgie profonde, mais aux vertus toniques rares : mêlant le dérisoire et le fantastique, l’ironie et la déclaration d’amour, Blutch porte à ébullition une cinéphilie fervente et totalement libre de ses mouvements (d’humeur). »