La République du Crâne : la liberté ou la mort !
Une histoire de pirates comme vous n’en avez jamais lu !
Vincent Brugeas et Ronan Toulhoat signent La République du Crâne, une aventure haute en couleurs, pleine de bruit et de fureur, mais aussi un récit méticuleusement documenté.
Bahamas, 1718. De haute lutte, le capitaine pirate Sylla — secondé par son quartier-maître, Olivier de Vannes, et ses hommes — prend possession d’un vaisseau anglais. Loin de massacrer les membres de l’équipage, les pirates leur proposent de se joindre à eux. Et ce, au nom des principes — eh oui ! — qui sont les leurs : liberté, fraternité et « démocratie ».
Olivier de Vannes, devenu capitaine du nouveau bateau capturé, croise une frégate battant pavillon portugais. Il s’en empare et, selon les mêmes principes, il libère les esclaves noirs et leur reine qui se trouvent à bord.
Mais l’association entre des pirates révoltés contre l’ordre établi, épris de justice et de liberté, et une reine, avide de vengeance, exerçant sans partage son autorité, est-elle possible ?
Au cœur de l’aventure, entre abordages périlleux et batailles fracassantes, se dessine une réflexion sociologique sur la figure du pirate — souvent imaginé comme une brute épaisse et sanguinaire — et de ses idéaux, comme un écho aux conflits sociaux et sociétaux de notre époque.
Mais le récit va bien au-delà des clichés du genre. Les auteurs, Vincent Brugeas et Ronan Toulhoat, ont voulu rappeler une vérité historique trop souvent oubliée par le cinéma et la littérature populaire.
Non, les pirates du XVIIIe siècle n’étaient pas que des forbans motivés par le seul appât de l’or, mais aussi les authentiques précurseurs de notre démocratie moderne, soucieux d’égalité entre les individus, de partage collectif des biens et de liberté individuelle.
Un authentique et surprenant récit de pirates, avec un scénario précis et documenté par Vincent Brugeas et porté par le trait virtuose du talentueux Ronan Toulhoat.
Découvrez La République du Crâne, un vibrant hommage à des hommes maîtres de leur destinée, qui préféraient "mourir libre la corde au cou, plutôt que vivre les fers aux poings".
Bonne lecture !