La Complainte des Landes perdues, la légende continue
Entre sorcières, magie noire et blanche, trahisons, créatures fantastiques et luttes de pouvoir, Jean Dufaux poursuit sa saga culte, influencée par Shakespeare et Tolkien, et précurseuse de Game of Thrones.
Table des matières
Une fresque ambitieuse, entre scènes d’action spectaculaires et exploration de la psychologie, parfois tortueuse, des personnages de la saga.
Back to topLe cycle des Sudenne
Grande nouvelle, Sioban est de retour auprès de sa mère Lady O’Mara. Mais le temps n’est pas à l’insouciance, car la révolte gronde. Certains clans veulent défier l’autorité des Loups blancs, la famille de Sioban.
Comble de l’infamie, c’est sa cousine Aylissa qui mène les séditieux. Celle-ci n’a donc ni scrupules ni limites. Elle est prête à écouter les conseils du sulfureux Lord Henry qui lui suggère de s’emparer d’une statue de morigane recelant peut-être un puissant secret. Et qui lui conseille même d’épouser le frère de Sioban pour mieux désorienter et affaiblir les Loups blancs. Tous les coups sont permis pour Aylissa dans cette tentative de prise de pouvoir. Difficile pour Sioban de contrer une telle furie.
Quatrième collaboration entre Jean Dufaux et Paul Teng sur le cycle 4 de Complainte des Landes perdues, avec toujours à la clé le même cocktail savoureux de magie, de combats et de créatures fantastiques, sur fond de luttes de pouvoir intestines qui entraînent moult trahisons.
Le seizième tome d’une série creuse un peu plus le monde de Sioban, où les clans se déchirent pour prendre le contrôle de l’île. Le combat avec sa cousine Aylissa est le fil rouge de ce cycle 4, avec la présence insistante auprès d’elle de Lord Henry, éminence grise aux idées précieuses pour mettre de l’huile sur le feu de la révolte.
Il est question également des moriganes, ces femmes qui dirigèrent l’île dans les temps anciens. Le tout est mis en images par un Paul Teng toujours aussi à l’aise pour immerger le lecteur dans cet univers fantasy où l’expressivité des personnages a une place importante. Les couleurs de Bérengère Marquebreucq portent la touche finale à un album qui continue d’enrichir une saga plus que trentenaire.
Back to topComplainte des landes perdues : une saga spectaculaire
Jean Dufaux imagine un scénario très dense mais d’une fluidité remarquable, dosant savamment intrigues de pouvoir, créatures fabuleuses, combats héroïques et maléfices. À son habitude, il décortique la psychologie de ses personnages de façon éblouissante. On ne lâche pas un instant cette saga.
Jean Dufaux et Béatrice Tillier
Dans ce cycle, très justement intitulé « Sorcières »,la forêt cache une demeure fantomatique, une forteresse émerge du bord de la mer, et le décor est planté pour assister à une terrible course au trône. Tandis que, dans l’ombre, s’affrontent les sorcières, à coups d’amulette maléfique, de magie noire ou blanche…
Jean Dufaux et Philippe Delaby
Les Moriganes, de cruelles sorcières, ont pratiquement toutes disparu des épaisses forêts qu'elles hantaient et envoûtaient. Sill Valt, le chef des Chevaliers du Pardon, est pourtant persuadé que l'une des plus redoutables d'entre elles a trouvé refuge dans les landes de Glen Sarrick. Un seul de ses compagnons peut lui en fournir la certitude, le jeune Seamus qui a d'étranges relations avec un mystérieux cygne noir et qui laisse venir à lui les présages heureux comme les funestes.
Jean Dufaux et Gregor Rosinski
Les auteurs nous font découvrir l'univers de Sioban, princesse sans royaume mais animée d'une extraordinaire soif de vengeance et de reconquête ! Complainte des landes perdues possède la force des récits fantastiques et la magie des légendes celtiques. En quatre albums, cette série fait déjà partie des indispensables.
Une série d'héroïc fantasy incontournable !
Back to topEn librairie
Découvrez en librairie la série mythique Complainte des Landes perdues
Bonne lecture !
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