Foot, vélo et baignades : les étés d'adolescents racontés en BD

Sant Pere, années 1990. Le temps de quelques étés, sur les terrains de foot, l’histoire d’une amitié, étrange et fugace, entre trois ados ! Une fiction personnelle, singulière et lumineuse où l’on ressent la chaleur de l’été et l’insouciance de l’enfance !

Par l'équipe Dargaud

Bebeto

Table des matières

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Parties de foot, courses de vélo et baignades : un été d'adolescents

Dans les années 1990, à Sant Pere, une banlieue de Barcelone. Carlos a délaissé la cour de l’immeuble, réservée aux moins de 10 ans, pour investir      « les terrains » – des aires de jeu en béton où, génération après génération, les gamins tapent dans le ballon des heures durant pour tuer le temps. 

Extrait de On l'appelait Bebeto de Javi Rey

Dans les gradins, un garçon un peu bizarre attend, toujours seul. Tout le monde le connaît, personne ne lui parle jamais. Un jour pourtant Carlos lui adresse la parole… 

On l’appelait Bebeto parce que tout le monde l’appelait Bebeto et on se fichait de savoir quel était son vrai nom. On ne savait pas grand-chose de lui, juste qu’il était plus âgé que nous et qu’il nous regardait jouer depuis les gradins. Il faisait partie du décor. Comme les barres des buts ou les lignes usées du terrain…

Carlos

C’est le début de leur amitié ; une amitié aussi singulière que ce garçon est particulier ; une amitié qui durera le temps de deux étés et qui s’achèvera dans un éclat. Pourtant Carlos n’oubliera jamais ces moments partagés…

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Des personnages profonds et attachants

Deux personnages singuliers et attachants : Carlos, le narrateur qui rêve de s’échapper de cette vie toute tracée et Bebeto, cet adolescent au corps étrange, disproportionné, maladroit, bloqué dans le monde l’enfance.


C’est l’histoire d’une rencontre inattendue, et peut-être un peu de sa propre histoire, que raconte Javi Rey dans ce roman graphique bouleversant. 

Il parle avec justesse et tendresse de l’adolescence. Il y parle aussi de la différence, de l’indifférence, de l’envie d’ailleurs, de la famille, de la vie qui peut faire si mal… comme l’amour, quand il n’est pas partagé. 

J'avais besoin de parler de cette époque, la fin de l'enfance, quand le corps change, quand la vie change.

Javi Rey

C’est une histoire dense, dans laquelle l’auteur imbrique avec aisance de nombreux éléments sans jamais perdre le fil de son récit. Il imagine des personnages profonds et attachants. Le ton et les dialogues pourraient appeler à la légèreté, pourtant il est aussi question de drames et de douleur. 

Extrait de On l'appelait Bebeto de Javi Rey

Pour raconter la vie comme elle est, le graphisme expressif de Javi Rey, parfois proche des animés, fait merveille : aucune fioriture, mais tout est là, sublimé par la mise en couleurs. 

Des cadrages judicieux et quelques pleines pages rythment la lecture. Sans mièvrerie, avec de vrais moments poétiques, cet album laisse le lecteur ému et on garde longtemps en tête le souvenir de Carlos, de Sorrow et de Manuel, celui qu’on appelait Bebeto…

On l'appelait Bebeto

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En librairie

Retrouvez en librairie le premier roman graphique en tant qu'auteur complet de Javi Rey, inspiré de ses souvenirs de jeunesse : On l'appelait Bebeto.

 

Bonne lecture 

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